Si je devais me définir à travers un mouvement, je le traduirais de la manière suivante :
Parfois proche de la figuration narrative avec une projection proche de la bande dessinée reflétant la vie du quotidien,
Parfois proche de la figuration libre, une peinture qui ne renie pas ses instincts primitifs.
Parfois proche de l’art brut où les portraits sont non ressemblants mais révèlent la personnalité intime de ceux qu’ils représentent,
Parfois proche de la peinture non figurative, composé par le sens du rythme, du mouvement des formes totalement inventées, inspirées par la géométrie et une admiration pour Kandinsky avec ce nouveau mode d’expression.
Alors ma signature est amalgame dans une même œuvre composée de signes, de mots, d’images, de couleurs et de formes que l’on croit reconnaître au premier regard et qui se dérobent lorsque l’on se risque de les analyser.
Comme si l’artiste n’était pas le créateur, mais ceux qui en parlent…